Quand vous pensez à votre santé mentale, à quelle fréquence estimez-vous que votre santé physique peut faire partie du tableau ? Lorsque les gens gèrent leur santé mentale, à quelle fréquence tiennent-ils compte de la possibilité que leur niveau de condition physique joue un rôle ?
Vous avez peut-être un membre de la famille atteint de trouble bipolaire qui recherche constamment la bonne combinaison de médicaments et de psychothérapie pour réduire ses symptômes. Cependant, avez-vous remarqué ses habitudes de vie ? Fume-t-elle, évite-t-elle toute forme d’activité physique et ne mange-t-elle que de la malbouffe ?
De nombreux facteurs entrent en compte
Comme le terme l’indique, le syndrome métabolique comprend un ensemble de facteurs qui impliquent le fonctionnement interne des systèmes du corps dans la régulation de l’apport alimentaire. Les cinq composantes de cet état physiologique comprennent un «mauvais» cholestérol élevé, des triglycérides supérieurs aux souhaitables (cellules graisseuses dans le sang), une pression artérielle élevée proche de l’hypertension, une glycémie élevée proche du diabète et un tour de taille qui frise l’obésité.
Voici les piliers d’un mode de vie sain :
Si vous avez 3 des 5 critères composant ce syndrome, vous êtes considéré à risque de maladies chroniques graves telles que l’hypertension, les maladies cardiaques et le diabète.
Liens entre santé mentale et physique
Des recherches antérieures ont permis de mieux comprendre les liens entre la santé mentale et la santé physique, mais ont laissé certaines questions ouvertes sur le rôle de l’âge et du sexe dans ces relations. Les auteurs notent que ces informations seraient utiles pour élaborer des programmes d’intervention ciblés à l’intention des personnes à risque élevé.
Les personnes atteintes de ces troubles psychiatriques ne puissent pas se permettre d’être dans un gymnase ou d’engager des entraîneurs personnels, ce qui limite leur capacité à inverser toute une vie de problèmes de santé. Les régimes malsains s’ajoutent au manque d’activité pour augmenter le risque de syndrome métabolique.